embarcations de ce type recensées par la Joint
Interagency Task Force South, l’organisation américaine
de lutte contre le narcotrafic en Amérique latine.
Et ce
phénomène, qui se cantonnait auparavant à l’océan
Pacifique, s’est étendu aux Caraïbes.
Depuis...
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embarcations de ce type recensées par la Joint
Interagency Task Force South, l’organisation américaine
de lutte contre le narcotrafic en Amérique latine.
Et ce
phénomène, qui se cantonnait auparavant à l’océan
Pacifique, s’est étendu aux Caraïbes.
Depuis juillet 2011,
les services de répression ont intercepté cinq LPV en mer
des Antilles.
Si le traditionnel go-fast reste l’engin privilégié des
narcotrafiquants, la voie sous-marine s’impose désormais
comme le second vecteur de transport de stupéfiants en
partance de l’Amérique du Sud.
Avec 80% du trafic sur
zone passant par la mer, la question des narcosubmersibles prend de l’ampleur.
Loin d’être un
épiphénomène, la menace est amenée à se généraliser.
S
Le danger ne vient pas seulement de la modernisation
des modèles submersibles, mais aussi de leur utilisation
de plus en plus importante.
Alors qu’en 2006 trois
mouvements de narco-submersibles sont repérés, ce
chiffre est multiplié par vingt en 2011, avec 60
TRAFIC SOUS LES MERS
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